Osez la confiance en vous sur tous les plans !

Écrit par Laurent Claret

20/01/2016

Vous manquez de confiance en vous.

De quel type de confiance s’agit-il ?

En guise d’introduction …

« Nous avons tous peur. Peur de ne pas y arriver, peur de ne pas savoir faire, peur de ne pas être à la hauteur, peur de décevoir, de se décevoir, de décevoir les autres, peur de ne pas parvenir à cocher les bonnes cases, peur de souffrir, peur de nous engager, peur de ne pas être aimé, peur d’aimer… Ce n’est pas un constat triste, car la peur est une énergie qui mobilise. À condition de ne pas rester dans ses filets paralysants et de ne pas se noyer dans ses méandres douloureux.

Qui peut vraiment, sincèrement, répondre à ces deux questions fondamentales :

  • Que ferais-je si je n’avais pas peur ?
  • Qui serais-je si je n’avais pas peur ?

C’est cela la mission de la psychologie, nous emmener de l’autre côté de la peur. Là où nous pouvons décider de nos choix, là où nous acceptons simplement d’être, là où nos émotions nous guident, là où nous pouvons retrouver le lien fondamental avec l’essence de ce que nous sommes, de ce que nous avons toujours été, ces êtres humains fragiles et forts qui peuvent tout dans leur vulnérabilité vacillante sur laquelle se fonde notre humanité. Celle qui nous unit. »

Jeanne Siaud-Facchin

Vous maquez de confiance en vous ? De quel type de confiance s’agit-il ?

Pour vous aider à y répondre, je partage ci-après de larges extraits du livre d’Isabelle Filliozat « Fais-toi confiance » aux Editions Marabout que je complète d’observations personnelles.

1 – S’agit-il de la confiance de base, autrement nommée sécurité intérieure (ou encore sécurité ontologique), cette sensation corporelle d’être à sa place dans la vie, cette profonde paix intérieure qui nous confère la liberté ?

2 – S’agit-il de la confiance en l’affirmation de votre personne propre ? S’agit-il de la confiance en vos sensations, en vos émotions, en votre jugement, en votre capacité à affirmer vos désirs et vos besoins, à dire « je veux », à dire « je » tout simplement sans craindre de vous différencier des autres, d’être rejeté(e) ou de vous sentir isolé(e) ?

3 – S’agit-il de la confiance en vos compétences, en votre capacité à faire ? Avez-vous des difficultés à dire « je peux » ? Manquez-vous de confiance en l’une ou l’autre de vos ressources : votre intelligence, vos talents, votre mémoire, vos connaissances … ?

4 – S’agit-il de confiance relationnelle (également nommée confiance sociale) ? Confiance en l’autre mais aussi surtout en votre capacité à établir des relations authentiques et durables. Confiance en votre capacité à vous sentir à l’aise en société, dans des systèmes hiérarchiques et organisés tout autant que dans des situations informelles.

En guise de développement … pour aller plus loin dans la compréhension de ces 4 types de confiance.

Au cours de votre première année dans les bras de vos parents, vous installez votre sentiment de sécurité intérieure. Puis, grandissant, vous commencez à vous opposer, à développer votre propre personnalité. Respecté par vos parents dans vos désirs, dans vos besoins, dans vos sensations, dans vos choix, dans vos jugements, vous renforcez la confiance en votre personne propre. A partir de trois ou quatre ans, vous explorez davantage le monde, vous voulez faire les choses « tout seul », vous développez la confiance en vos compétences. A l’école, vous rencontrez vos pairs, vous vous faites des amis, vous renforcez votre confiance relationnelle. Quand ces quatre étapes sont solides, vous sentez en vous une profonde confiance en la vie et votre devenir.

1 – Quel est votre niveau de sécurité intérieure (confiance de base) ?

Vous plaisez-vous en votre propre compagnie ? Avez-vous le sentiment d’avoir votre place sur terre ? Vous dites-vous que l’avenir a un projet pour vous ? Êtes-vous confiant dans la vie ?

La sécurité intérieure (ontologique), ou confiance de base, c’est la sensation d’être confortablement installé à l’intérieur de soi, bien assis dans sa base, dans sa colonne vertébrale, dans son sacrum. C’est une sensation physique, une expérience corporelle élaborée dans le contact avec les parents. Elle n’est pas liée aux seuls messages verbaux de ces derniers, même si les « je t’aime » la confortent.

Celui qui n’a pas reçu suffisamment de contact physique authentique de la part de ses parents, qui n’a pas pu intérioriser suffisamment de sécurité intérieure, éprouve le besoin d’être toujours en contact avec autrui. Il n’arrive pas à affronter un moment de solitude. Il est dépendant de son téléphone. Téléviseur ou radio sont allumés en permanence pour faire un bruit de fond. Il a peur du silence, du vide, de la solitude … Il s’installe dans une dépendance à autrui (parents, conjoint, enfants …) ou fixée sur un objet transitionnel comme la cigarette, l’alcool, le travail, la drogue, les vêtements, la nourriture, l’argent, le pouvoir, l’apparence ou le sexe, voire la religion. Certains prennent refuge dans une église, une secte, une communauté, un groupe politique qui les accepte et dirige leur vie, pense à leur place et leur fournit les repères dont ils manquent. D’aucuns recherchent la sécurité d’un emploi, la sécurité financière, la sécurité amoureuse et tentent par exemple d’assumer cette dernière par les liens du mariage. Mais sécurité rime rarement avec liberté, encore moins avec intimité. On privilégie les habitudes à l’aventure. On s’accroche à ses convictions. La tendance est au conformisme quand ce n’est pas l’extrémisme et ses certitudes absolues. Nous cherchons de la sécurité alors que ce qui nus a manqué est l’intimité. Dramatique quête, jamais comblée, puisque nous nous trompons d’objectif. La confiance de base ne se trouve pas dans le chocolat, pas plus que dans le sexe ou l’argent, bien que nous tentions parfois de l’y chercher. Elle se restaure dans le lien avec soi-même et avec les autres. 

Maintenant que vous en savez plus sur la sécurité intérieure, je vous suggère de positionner votre niveau de confiance de base sur une échelle de 0 à 10 (10 étant le niveau de confiance maximum). Quelle est la première petite chose concrète que vous pouvez faire pour monter d’un cran sur cette échelle de la sécurité intérieure ?

Vous l’avez compris, le développement de la confiance de base se fait principalement par l’expérimentation (comme par exemple la respiration consciente et la méditation). Néanmoins, voici quelques exemples de signes de reconnaissance à vous donner dès que l’occasion se présente pour restaurer votre confiance de base : « J’ai le droit d’être moi », « Je suis à ma place », « Je m’aime inconditionnellement ».

2 – Affirmation de soi : Osez-vous affirmer vos croyances et vos opinions ? Osez-vous partager vos émotions et vos ressentis ? Osez-vous dire vos envies et vos besoins ?

Il s’agit d’être en capacité de dire sa vérité (ses croyances, ses opinions, ses émotions, ses ressentis, ses envies et ses besoins) en bienveillance (dans le respect de son interlocuteur) en pratiquant notamment la Communication Non Violente.

De nombreux ouvrages ont été publiés sur la Communication Non Violente (CNV) dont celui du « père » de la CNV Marshall Rosenberg « Les mots sont des fenêtres ou bien ce sont des murs ».

En ce qui me concerne, j’ai tout particulièrement aimé la lecture du livre de Thomas d’Ansembourg « Cessez d’être gentil, soyez vrai ! » Le mot de l’éditeur : « Nous sommes souvent plus habiles à dire leurs quatre vérités aux autres qu’à leur exprimer simplement la vérité de ce qui se passe en nous. Nous n’avons d’ailleurs pas appris à tenter de comprendre ce qui se passe en eux. Nous avons davantage appris à être complaisants, à porter un masque, à jouer un rôle. Nous avons pris l’habitude de dissimuler ce qui se passe en nous afin d’acheter la reconnaissance, l’intégration ou un confort apparent plutôt que de nous exprimer tels que nous sommes. Nous avons appris à nous couper de nous-mêmes pour être avec les autres. La violence au quotidien s’enclenche par cette coupure : la non-écoute de soi mène tôt ou tard à la non-écoute de l’autre, le non-respect de soi mène tôt ou tard au non-respect de l’autre. Cessez d’être gentil, soyez vrai ! est un seau d’eau lancé pour nous réveiller de notre inconscience. Il y a urgence à être davantage conscients de notre manière de penser et d’agir. En illustrant ses propos d’exemples percutants, l’auteur explique comment notre tendance à ignorer ou à méconnaître nos propres besoins nous incite à nous faire violence et à reporter sur d’autres cette violence. Pour éviter de glisser dans une spirale d’incompréhension, il s’agit de reconnaître nos besoins et d’en prendre soin nous-mêmes plutôt que de nous plaindre du fait que personne ne s’en occupe. Ce livre est une invitation à désamorcer la mécanique de la violence, là où elle s’enclenche toujours : dans la conscience et le cœur de chacun de nous. »

Maintenant que vous en savez plus sur l’affirmation de soi, je vous suggère de positionner votre niveau d’affirmation de vous-même sur une échelle de 0 à 10 (10 étant le niveau d’affirmation maximum). Quelle est la première petite chose concrète que vous pouvez faire pour monter d’un cran sur cette échelle de l’affirmation de vous-même ?

Vous l’avez compris, le développement de l’affirmation de soi se fait principalement par l’expérimentation. Néanmoins, voici quelques exemples de signes de reconnaissance à vous dire dès que l’occasion se présente pour restaurer votre affirmation de vous : « J’ai le droit d’être différent(e) », « J’ai le droit d’avoir un gout personnel », « J’ai le droit d’être en colère / triste », « J’ai le droit d’avoir des envies / des besoins », « J’ai le droit d’avoir mes propres idées », « Je suis moi et les autres sont eux »

3 – Quel est votre niveau de confiance dans votre capacité à faire ? Dans votre capacité à gérer les difficultés de la vie (dans le domaine personnel et professionnel) ?

Cette confiance se fonde sur l’accumulation d’expériences. Quand on n’a pas encore d’expérience dans un domaine, on ne peut pas avoir confiance en soi. On ne se lance pas quand on est compétent dans un domaine. On se lance et on devient compétent jour après jour et après nombre d’échecs. La question à se poser n’est donc pas « Ai-je la compétence ? » mais « Comment puis-je développer telle ou telle compétence ? » puis « Ai-je envie de développer cette compétence ? »

Chaque nouveau travail, chaque nouvelle fonction, va mettre en jeu différentes compétences. Nous en maitrisons déjà certaines et nous allons en acquérir d’autres. Nous serons enfin compétents et on nous proposera de grimper un échelon supplémentaire et nous aurons à nouveau de faire face à une certaine incompétence.

« Ce n’est pas parce que c’est difficile que nous n’osons pas. C’est parce que nous n’osons pas que c’est difficile. »

Sénèque

Maintenant que vous en savez plus sur la confiance dans votre capacité à faire / à gérer, je vous suggère de positionner votre niveau de confiance sur une échelle de 0 à 10 (10 étant le niveau de confiance maximum). Quelle est la première petite chose concrète que vous pouvez faire pour monter d’un cran sur cette échelle de votre capacité à faire / à gérer ?

Vous l’avez compris, le développement de sa confiance dans sa capacité se fait principalement par l’expérimentation. Néanmoins, voici quelques exemples de signes de reconnaissance à vous dire dès que l’occasion se présente pour restaurer votre confiance dans votre capacité à faire / à gérer : « Je suis capable », « J’ai les ressources pour le faire », « J’ai le droit de faire des erreurs », « J’ai le droit de ne pas être parfait(e) ».

4 – Quel est votre niveau de confiance relationnelle ?

Toutes les croyances qui mettent de la distance avec autrui sont profondément handicapantes dans les relations et provoquent un renforcement des croyances négatives sur soi.

Choisir d’être vulnérable est un cadeau que nous nous faisons à nous-même et aux autres.

Notre relation à la vulnérabilité est paradoxale : la vulnérabilité des autres nous attire, la nôtre nous fait peur. Nous aimons être témoin de l’ouverture des autres mais nous avons peur de leur faire ce même cadeau. Nous aimons éprouver la vulnérabilité des autres mais nous ne voulons pas être vulnérable. La vulnérabilité est synonyme de courage chez les autres et de faiblesse chez nous.

L’intimité, l’ouverture à l’autre, n’est pas possible sans vulnérabilité.

« L’enfant pense qu’en grandissant il deviendra invulnérable. Grandir, c’est accepter la vulnérabilité. Être vivant, c’est être vulnérable. »

Madeleine L’Engle

Avoir le courage de nous montrer tels que nous sommes et devenir vrais.

C’est lorsque nous avons le courage d’être authentiques, de dire notre vérité, de nous montrer tel que nous sommes, que nous créons de la confiance dans la relation. Quand nous osons nous montrer vulnérables, nous dévoilons notre vraie personnalité, la confiance nous gagne, l’humilité et l’empathie dont nous faisons preuve profitent à tout le monde. C’est alors que nos relations avec les autres s’enrichissent de même que la qualité de notre vie. C’est le pouvoir de la vulnérabilité.

Maintenant que vous en savez plus sur la confiance relationnelle, je vous suggère de positionner votre niveau de confiance sur une échelle de 0 à 10 (10 étant le niveau de confiance maximum). Quelle est la première petite chose concrète que vous pouvez faire pour monter d’un cran sur cette échelle de la confiance relationnelle ?

Vous l’avez compris, le développement de la confiance relationnelle se fait principalement par l’expérimentation de l’ouverture aux autres. Néanmoins, voici quelques exemples de signes de reconnaissance à vous dire dès que l’occasion se présente pour restaurer votre confiance relationnelle : « J’ai autant de valeur que les autres », « J’ai le droit de demander, de donner, de recevoir, de refuser », « Je suis utile par ma simple présence », « Je peux aller vers les autres en sécurité ».

« Cette peur liée à l’inconnu doit être notre boussole. C’est elle qui nous guide sur les chemins de notre légende personnelle. Chaque grande chose qu’on fait est précédée par cette peur de l’inconnu. Puis, lorsqu’on se lance et qu’on se libère, on réalise que l’inconnu c’est très souvent des opportunités, des personnes, des compétences inexploitées. C’est dans cet inconnu, derrière ces peurs, que se cachent les plus beaux moments de nos vies. »
Paul Henri de le Rue

En guise de conclusion inachevée …

Tremblez … mais osez !

« Hic Sunt Leones »

« Ici vivent les lions » en latin.

Hic Sunt Leones, c’est faire le choix d’écouter l’appel de l’aventure, c’est oser franchir le seuil, c’est avoir le courage de traverser mes peurs poussé par l’envie d’aller explorer des continents inconnus.

Hic Sunt Leones, c’est l’envie irrépressible de rechercher inlassablement ce que je n’ai pas encore trouvé et ce que je n’imagine même pas trouver.

Il conviendra pour cela de réveiller le fauve, l’homme sauvage et l’aventurier qui sommeillent en moi.

Banzaaaaaaaiiiii !!!

« J’ai peur … donc j’y vais. »

Beaucoup cherchent à être rassurés dans cet état d’incertitude. Mais si on les rassure, ce serait comme rendre leur peur réelle et lui donner du pouvoir. Tout ce temps de latence sert à faire monter en soi le redouté contenu de cet espace de doute, d’incertitude et d’ignorance. Il n’y a pas d’autre voie que celle de l’expérience individuelle. Nul autre que soi ne peut l’accomplir à notre place.

Ce n’est pas lorsque nous n’aurons plus peur que nous pourrons nous lancer, car ça n’arrivera jamais. La peur disparaît lorsque l’action produite malgré la sensation de peur est accomplie. La peur est inscrite dans notre véhicule corporel parce qu’elle a été nourrie depuis la nuit des temps, depuis la première sortie de la grotte où il fallait tout surveiller pour survivre. Le corps, plutôt que d’être commandé par la conscience pure, l’est par le mental qui est pétri de peur. Il s’agit donc de désapprendre patiemment au corps la dictature de la peur et oser mettre en pratique « J’ai peur, donc j’y vais ! ».

On sent la peur, elle n’est pas niée, on l’accepte et on va dans la direction qui semble attiser cette peur pour se donner la preuve que le pas accompli, plutôt que de conduire à la mort ou au précipice, fait grandir la Joie en soi.

Si on ne s’offre pas ce mouvement et, qu’à l’inverse, on attend que le monde autour de soi soit moins effrayant, ou qu’il y ait un signe rassurant qui advienne, cela ne viendra jamais. Tout part de soi, du centre, de l’acceptation en soi de sentir totalement ce doute pointer et cette peur du vide, tout en osant se dire « J’y vais ! » Cela demande du courage – au sens du cœur en action – un courage qui initie un premier pas vers la liberté, même si la tête et le cœur s’opposent l’un l’autre. Même si la tête dit « N’y va pas ! », le cœur affirme « Tremble mais avance. Avance vers ta vérité… »

Source : auteur inconnu de moi.

Ne dites plus « Je ne peux pas faire cela parce que je n’ai pas confiance en moi » car c’est en ne le faisant pas que vous maintenez votre défaut de confiance en vous. Plus vous prendrez de risques, plus vous augmenterez votre confiance en vous.

Il vous faudra abandonner la façon de penser « réussite OU échec » et adopter la façon de se comporter « essais ET ajustements ».

« Je ne mourrai pas sans avoir vécu.

Je ne vivrai pas dans la peur

De tomber ou de prendre feu.

Je choisis de prendre le risque de mon importance.

De telle manière que

Ce qui m’est arrivé sous forme de graine

Parvienne sous forme de fleur

Et que ce que j’ai reçu sous forme de fleur

Poursuive son chemin en tant que fruit. »

Dawna Markova

Vos questions, commentaires et retours d’expérience sont les bienvenus dans l’onglet en bas de cet article.
Pour aller plus loin, dans la série « Confiance en soi », vous pouvez également lire …
Vous souhaitez développer votre confiance en vous et votre estime de vous … un peu ? beaucoup ? passionnément ?
Osez muscler votre confiance en vous !
#OVPConfianceEnSoi
#OVPConfiance
#OVPPeur

Couverture du livre du Dr Susan Jeffers « Tremblez mais osez !« 

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Laurent Claret

 

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2 Commentaires

  1. Fabienne Jay

    Bonjour Laurent, merci pour cet article que je trouve éclairant. J’ai relié ces niveaux de confiance à:
    – confiance de base avec le je suis – ancrage
    – confiance de l’affirmation = je veux = Enfant – motivation: est-ce que je veux changer
    – confiance en mes compétences et confiance relationnelle =
    1/ Parent = autorisation avec est-ce que je peux changer? et
    2/ Adulte = savoir = compétence avec est-ce que je sais comment changer?
    Trois niveaux à prendre en considération: Pouvoir (Parent), Savoir (Adulte) et vouloir (enfant)
    Qu’en pensez-vous?
    Joyeux lundi de Pentecôte, Fabienne

    Réponse
    • Laurent Claret

      Bonjour Fabienne,
      Merci de votre apport que je trouve enrichissant et éclairant via le prisme de l’Analyse Transactionnelle.
      Je vous souhaite également un joyeux lundi de Pentecôte,
      Laurent

      Réponse

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